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Le Pen - Page 28

  • Le Pen : il faut dissoudre le FMI

    Le Fonds Monétaire International a désigné son nouveau Directeur Général : Dominique Strauss-Kahn, qui était en compétition avec un banquier central de carrière, mieux qualifié, Josef Tosovsky, candidat tchèque présenté par la Russie.

    Ainsi cette institution obsolète et moribonde qui, depuis l’après guerre, avait pour mission la stabilité financière internationale, s’est trouvée un nouveau serviteur, providentiellement soutenu par l'Union européenne et les Etats-Unis, au moment même où l’ampleur désastreuse de la  crise systémique mondiale devient évidente à tous. Dominique Strauss-Kahn se dit « déterminé à engager sans tarder les réformes dont le FMI a besoin pour mettre la stabilité financière au service des peuples en favorisant la croissance et l'emploi ». Dans un communiqué, Jean-Marie Le Pen relève le cynisme de ce propos, « lorsqu’on sait que ce politicien a enseigné au contraire, à Sciences Po, les vertus du concept monétariste scélérat du NAIRU (le taux de « chômage minimum », éventuellement très élevé, qui stabilise l’inflation), que la BCE applique aussi, méthodiquement, dans sa politique monétaire ».

    On comprend mieux, ainsi, les vraies raisons qui ont poussé l’oligarchie financière occidentale à adouber puis imposer diplomatiquement son « poulain » au FMI. Or le déclin de l’influence du FMI sur la scène internationale et notamment son illégitimité dans les pays émergents : Argentine, Brésil, Russie, Inde, Chine, etc., démontre son inutilité flagrante, sans compter le coût financier exorbitant de cette institution pour les Etats membres.

    En conséquence, souligne Jean-Marie Le Pen dans son communiqué, une vraie réforme du FMI serait sa dissolution. « A défaut, la France devrait sortir du FMI afin de sauvegarder ses intérêts nationaux en recouvrant ses avoirs. Les solutions du redressement national existent et l’obstination à ne pas les appliquer pourrait être interprétée par les Français comme une collusion politique entre les pouvoirs apatrides du système monétaire international. »

  • Le Pen en Bulgarie

    Jean-Marie Le Pen a participé dimanche à Sofia au lancement de la campagne électorale d’Ataka pour les municipales bulgares du 28 octobre.

    « Nous souhaitons combattre ensemble les gens qui se sont unis pour affaiblir l'Europe et la soumettre », a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse. « Nous pensons que chacune de nos nations et l'Europe en général, sont menacées par le phénomène de la mondialisation et nous pensons que la nation désignée aujourd'hui par nos adversaires comme l'ennemi est le garant le plus efficace pour défendre l'identité, la liberté, la sécurité et la culture de nos peuples. »

    Ataka, qui a fait une percée au parlement bulgare lors des élections législatives de 2005 (9 % des voix, 21 députés), est représenté par trois députés au Parlement européen, dont Dimitar Stoyanov, son vice-président. Ces trois députés font partie du groupe ITS (identité, tradition, souveraineté) que préside Bruno Gollnisch.

    Comme Jean-Marie Le Pen en 2002, le président-fondateur d'Ataka, Volen Siderov, était arrivé au second tour de l'élection présidentielle de 2006, mais le président sortant avait été réélu avec 75% des voix.

    Ataka, de son nom complet "Union nationale attaque", se définit comme une « organisation patriotique et nationaliste » qui dit non « à la vente de la Bulgarie aux étrangers, à la tziganisation de la Bulgarie , à la turquisation de la Bulgarie  ».

    Selon l’AFP (qui est semble-t-il la seule grande agence de presse à relater ce voyage de Jean-Marie Le Pen), un « nouveau parti populiste et nationaliste modéré », le GERB, devrait remporter les municipales et marginaliser Ataka. En réalité, le GERB, fondé en décembre 2006 par le maire de Sofia, comme machine électorale pour sa réélection, est un parti européiste de centre droit (GERB est l’acronyme de Citoyens pour le développement européen de la Bulgarie), même s'il a aussi pour mission de tenter d'enrayer la progression d'Ataka.

  • Les députés votent pour le protocole anti-français

    Les députés ont voté hier à une très large majorité la ratification du protocole de Londres. C’est une nouvelle atteinte à la langue française et à la francophonie.

    Ce protocole prévoit que les brevets soient déposés dans l’une des trois langues officielles de l’Office européen des brevets (OEB) : anglais, français et allemand, et supprime l’obligation de les traduire dans chacune des langues des 32 pays membres.

    Les partisans du protocole insistent naturellement sur les « coûts » de traduction qui seront ainsi réduits ou supprimés, et n’hésitent pas à prétendre que c’est une avancée de la francophonie, puisque le français devient une des trois langues officielles de l’OEB.

    En réalité, le protocole consacrera la suprématie de l’anglais au point d’en faire un quasi monopole. Le Comité contre le protocole de Londres, présidé par Claude Hagège, a expliqué que la ratification « reviendrait à admettre, en réalité, l'usage de l'anglais en droit français et serait très dangereuse pour la pérennité de la langue française comme langue scientifique, technique et commerciale ». Si actuellement 100% des brevets sont traduits en français, « la part de la francophonie passerait à 7% ». Car à l'heure actuelle 70% des brevets sont déposés en anglais, 23% en allemand et 7% en français.

    Cela dans un premier temps, car la logique de la non-traduction est naturellement que tous les auteurs de brevets seront conduits à les déposer en anglais.

    L’UMP et le PS ayant décidé de voter en faveur de la ratification du protocole (approuvé par le gouvernement le 24 août dernier), l’issue du vote ne faisait aucun doute. Il est étrange, dès lors, que pas moins de trois membres du gouvernement soient venus à l’Assemblée nationale défendre le texte. C’était sans doute histoire de souligner que le gouvernement tient énormément à accomplir ce forfait contre la langue française. Il y avait là Hervé Novelli, Jean-Pierre Jouyet, et Valérie Pécresse, celle-ci n’hésitant pas à en appeler à « l’esprit des Lumières », qui « doit être rallumé », ce qui ne manque pas de sel quand on se souvient qu’à l’époque des Lumières toute l’Europe intellectuelle s’exprimait en français...

    Dans un communiqué, Jean-Marie Le Pen souligne que ce protocole « qui conduira à ce que la quasi-totalité des brevets européens soient rédigés exclusivement en anglais, et à ce que ces brevets non traduits soient officiellement opposables en justice (ce qui fait de l’anglais une langue du droit français) ». « Comment cette Assemblée peut-elle encore se dire nationale ? » s’exclame-t-il, avant de demander : « A quand l’abrogation de la loi Toubon ? Puisqu’on prépare une réforme constitutionnelle, va-t-on ajouter à l’article 2 de la Constitution que si la langue de la République est le français, la langue des affaires, sur le territoire français, est l’anglais ? »

  • Budget 2008 : où est la « rupture » ?

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Le premier budget de l’ère Sarkozy est un budget de routine, fondé comme d’habitude sur des hypothèses « optimistes », sans pour autant que soit prévue une réduction visible de la dette et des déficits.

    C’est l’immobilisme qui prime, et l’on ne relève aucune prise de conscience que la France est « en situation de faillite », selon l’expression du Premier ministre.

    Bref, ici comme ailleurs, on cherche en vain la « rupture ».

  • La diplomatie selon Rama Yade

    « J’ai envie que nous allions à l’étranger parler droits de l’homme avec les Russes, avec les Chinois, sans avoir honte de nous-mêmes. Nous ne sommes pas la Chine , nous ne sommes pas la Russie. Notre pays n’est pas une dictature. Nous ne sommes pas une nation qui passe son temps à violer les droits de l’homme. »

    Ce propos est de Rama Yade, secrétaire d’Etat aux Affaires étrangères et aux Droits de l’homme. Elle était interrogée sur sa visite aux squatteurs d’Aubervilliers et sur la situation des clandestins en France, notamment après la mort d’une Chinoise tombée d’un immeuble en voulant échapper à la police qui ne la recherchait pas, et après la mort d’un jeune Russe dans des conditions similaires.

    Le contexte explique donc que Rama Yade évoque la Chine et la Russie. Mais cela ne justifie en rien ce propos, qui serait déjà hallucinant dans la bouche de quelque responsable politique que ce soit, et qui est proprement insupportable dans la bouche de quelqu’un qui est en charge de la diplomatie française. Rama Yade a « gagné haut la main la palme de l’impudence diplomatique », constate Jean-Marie Le Pen dans un communiqué.

    Il y a ici deux énormités.

    La première est de traiter la Russie de « dictature ». Et, plus fort encore, de « nation qui passe son temps à violer les droits de l’homme ». Certes, Nicolas Sarkozy, devant la conférence des ambassadeurs, avait dénoncé la « brutalité » de la Russie (dans le domaine de l’énergie), ce qui avait suscité une réponse ironique de Moscou. Mais ni lui ni aucune personnalité gouvernementale du monde civilisé n’avait encore traité la Russie de « dictature » et de « nation qui passe son temps à violer les droits de l’homme ». Personne ne s’était encore permis une telle attaque, aussi stupide et insensée qu’injuste, d’un pays ami.

    La seconde énormité est le fait de mettre la Russie et la Chine sur le même plan en matière de « dictature ». Comme s’il y avait un rapport entre la très réelle dictature du parti communiste chinois, qui interdit toute démocratie et toute liberté d’expression, et la Russie de Poutine, où les partis politiques sont libres, et où il faut être vraiment sourd pour ne pas entendre l’opposition.

    En bref, la Russie de Poutine est le pays qui honore Soljenitsyne, et la Chine , qui réussit le tour de force d’ajouter à l’esclavagisme communiste l’esclavagisme du pire capitalisme libéral, est le pays où les esprits libres sont en camp de concentration.

    L’interprétation la plus bienveillante est que Rama Yade ne sait pas de quoi elle parle. C’est ce que suggère Jean-Marie Le Pen dans son communiqué, ajoutant que « ce n’est pas une excuse, surtout quand on est ministre ». La conclusion va de soi : « Pour l’honneur de la France, Rama Yade doit démissionner. »

  • Misions, commissions, comités...

    François Fillon installe cet après-midi la commission « sur l’évaluation du métier d’enseignant », qui a comme membre vedette Michel Rocard.

    A cette occasion, Jean-Marie Le Pen a publié le communiqué suivant :

    « J’avais officiellement proposé, parmi les 12 membres, la candidature du Professeur Jean-Richard Sulzer, proche de ma famille politique et qui aurait été la seule personnalité à avoir enseigné dans le secondaire.

    « Le Professeur Sulzer, actuellement en poste à l’Université Paris Dauphine, a également fait partie du Jury d’Agrégation, concours où il a d’ailleurs été lui-même reçu major en 1979.

    « Son éviction est révélatrice de l’ostracisme qui frappe toujours la droite patriotique.

    « Cette discrimination est d’autant plus choquante que les anciens Ministres de l’Education nationale auront, quant à eux, accès de plein droit aux travaux de la Commission  : dont, entre autres, Messieurs Claude Allègre, reçu aujourd'hui à Matignon, Jack Lang, François Bayrou…. et Lionel Jospin.

    « Le peuple de droite n’a-t-il pas été trompé ? »

  • La seule « rupture » : contre l’indépendance française

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Le président de la République révèle dans une interview au New York Times qu’il « travaille » au retour de la France dans les structures militaires intégrées de l’OTAN.

    Le « travail » consiste à faire accepter par l’OTAN les deux conditions que fixe Nicolas Sarkozy. Or ces deux conditions n’en sont pas, puisqu’elles sont virtuellement réalisées : l’avancée de la politique européenne de défense est un objectif avoué de l’Union européenne, et la nomination d’un Français dans les instances de direction de l’OTAN sera bien entendu la récompense de l’alignement de la France.

    Après les renforts envoyés en Afghanistan, les propos sur l’Iran, et le spectaculaire reniement sur l’adhésion de la Turquie à l’Union européenne, Nicolas Sarkozy s’affirme ouvertement comme le vassal de George Bush. Et pour enfoncer le clou, il fait cette déclaration aux Etats-Unis.

    Telle est la seule rupture qu’opère Nicolas Sarkozy : une rupture avec la tradition de la Ve République , avec un principe clef de notre politique étrangère, avec l’indépendance de la France.

  • Kouchner aux ordres des Israéliens

    Extrait d’une dépêche de l’Associated Press, datée du 11 septembre dernier, à 21h 44, sur la conférence de presse commune des ministres français et israélien à Jérusalem :

    « Quand un journaliste israélien a interrogé M. Kouchner sur les plaintes de la Syrie selon lesquelles un avion de la chasse israélienne avait pénétré son espace aérien la semaine dernière, Tzipi Livni a été vue en train de griffonner un message et de le transmettre au ministre français. M. Kouchner a affirmé qu'il n'était pas au courant de cette affaire. »

    Le 6 septembre, la Syrie fait savoir que des avions israéliens ont pénétré dans son espace aérien et que la DCA syrienne les a obligés « à rebrousser chemin après que l’aviation israélienne eut lâché des munitions ».

    L’information est largement relayée par la presse. Selon les médias israéliens, il ne s’agit que d’un vol de reconnaissance.

    Le gouvernement et l’armée refusent de s’exprimer sur ce sujet. Toutefois, le 9 septembre, le ministre des... Retraités, interrogé à la radio, reconnaît implicitement qu’il s’est passé quelque chose en exhortant les médias à « adopter un profil bas » dans cette affaire.

    Le 10 septembre, le ministre turc des Affaires étrangères et son homologue syrien donnent une conférence de presse commune à Ankara, rappelant que des réservoirs largables de carburant ont été retrouvés sur le territoire turc à la frontière syrienne, et que le gouvernement turc avait demandé des explications à Israël. « Il s’agit pour nous d’un développement inacceptable », soulignait Ali Babacan. Et il faut que ce que ce qui s’est passé soit vraiment inacceptable pour que la Turquie , grande alliée d’Israël, réagisse de cette façon.

    Le jour de la conférence de presse de Kouchner à Jérusalem, la presse américaine émettait diverses hypothèses sur l’objectif israélien, d’autant qu’un responsable militaire US affirmait qu’il s’agissait d’un raid. Selon CNN c’était un raid sur un convoi d’armes. La Syrie déposait une plainte à l’ONU (le lendemain, elle demandera au Conseil de sécurité de réagir).

    On veut bien croire que Kouchner n’ait pas été au courant des tout derniers faits. Mais il était forcément au courant de tout ce qui précédait.

    Il a donc menti ouvertement, pour adopter la position officielle israélienne.

    Le ministre des Affaires étrangères israélien demande au ministre français des Affaires étrangères de dire qu’il n’est « pas au courant » d’une affaire dont tout le monde parle, et le ministre français s’exécute.

    C’est un scandale majeur.

    Dans un communiqué, Jean-Marie Le Pen déclare que Bernard Kouchner « doit impérativement s’expliquer sur cette information, dont l’interprétation obvie est qu’il a obéi à la consigne israélienne de black-out. » Il ajoute : « Le ministre français des Affaires étrangères est-il au service du gouvernement israélien ? Ce n’est plus seulement la crédibilité de la France, c’est sa souveraineté qui est en jeu. »

  • L’obsession des 25.000

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Il y a trois semaines, le ministre de l’Immigration Brice Hortefeux déplorait que les objectifs d’expulsion de clandestins ne soient pas atteints.

    Lors de son récent voyage en Guyane, il se félicitait en revanche que dans ce département l’objectif soit atteint et même dépassé.

    Hier, il a convoqué au ministère les préfets qui n’ont pas atteint leurs objectifs et « dont les résultats doivent être améliorés ».

    La réalisation d’un objectif chiffré est donc une obsession. Mais si c’est cela la politique de l’immigration, il n’y a pas besoin d’un ministère. La police et la gendarmerie suffisent.

    On comprend qu’il s’agit de faire croire aux Français qu’on s’attaque au problème. Mais l’objectif de 25.000 reconduites à la frontière est parfaitement dérisoire en comparaison des masses d’immigrés clandestins qui campent sur notre sol. Surtout lorsqu’on sait que jusqu’à 60% des reconduites à la frontière ne sont pas exécutées.

    Mais les Français se rendront compte, d’autant plus vite qu’on l’aura davantage martelé, que le chiffre magique des 25.000 relève du charlatanisme.

  • L’identité nationale

    Extrait du discours de Jean-Marie Le Pen à l’université d’été d’Egalité et réconciliation

    Notre identité nationale ne peut pas être réduite à un concept juridique. C'est la tendance du "politiquement correct" que de se limiter à la dimension juridique et à elle seule. En Allemagne, en raison du traumatisme dû à la seconde guerre mondiale, on a parlé "d'identité constitutionnelle" : être allemand n'aurait pas d'autre définition que d'être soumis à la Constitution de la Bundesrepublik.

    Avec un pareil raisonnement, une substitution totale de population n'affecterait en rien l'identité de la nation.

    Si l'on n'introduit pas dans la notion d'identité française autre chose qu'un squelette juridique, être français n'a pas plus de signification que d'être abonné au gaz, idée qui fut explicitement défendue au cours des années passées, par Alain Madelin. Pour lui, être français, c'est avoir un contrat de fourniture de services publics avec l'Etat français. Un point c'est tout.

    Or c'est bel et bien un héritage objectif, dont le patrimoine culturel, linguistique et moral demeure l'aspect central, qui fonde la conscience nationale. D'où la célèbre formule de Renan pour qui la nation est d'une part un héritage commun, d'autre part le résultat d'une manifestation de volonté, un plébiscite de tous les jours.

    Il faut bien préciser que Renan n'a jamais réduit l'identité à la seule manifestation de volonté comme on le prétend souvent. Notons l'aberration à cet égard de notre actuel code de la nationalité avec sa fameuse notion du "droit du sol".

    Ce droit soutient que la seule présence physique sur le sol français peut faire de tout individu un Français : aucune notion n'est plus platement matérialiste. Il n'est pas question de l'héritage spirituel et culturel propre à la nation, nécessairement transmis par les parents aux enfants dans le cadre de la famille, laquelle est le fondement du droit de la filiation.

    Il n'est pas question non plus de manifestation de volonté puisque le droit du sol est automatique.

    La naturalisation d'un étranger, par contre est une procédure qui tient compte du degré d'assimilation de l'héritage, et de la manifestation de la volonté. C'est en cela qu'elle est une procédure véritablement humaine. Le droit du sol automatique, c'est la domination pure de la matière : on localise un individu interchangeable sans tenir compte de son âme : c'est le lieu de naissance, pur produit du hasard, qui ferait le Français !

    C'est, en réalité, le mépris de l'être humain comme être de sentiment et de volonté autonome !